Le récit variable se fragmente, se combine et s’anime en fonction du choix de son usager / lecteur.
Le sens y est restitué par le lien entre les textes, par leur juxtaposition et par le parcours unique du lecteur au sein du récit.
Simple d'usage, un récit variable conserve la narration et maintient les mécanismes essentiels d'identification. C'est un espace textuel voué à la transformation et à l'expansion.
Le récit variable peut être lu de quatre manières différentes : linéaire, multilinéaire, aléatoire et combinatoire (réseau).
Type de document : DJ's classes : récits variables
Auteur fictif : Capitaine L
Auteur réel : Carole Lipsyc
Provenance du texte : Noyau liminaire
Commentaires : aucun
Textes satellites : aucun
Dans un Topos, chaque élément en complète un autre : il est engendré, généré, point d’arrivée.
Elément/destination
Mais, chaque élément est aussi et surtout le point de départ d’un complément, d’un commentaire ou d’une association.
Elément/départ
Toutefois, comme chaque élément porte toujours du sens en soi, il peut revendiquer une autonomie qui lui confère un statut subjectif de "centre".
Document/centre
Ainsi les statuts hiérarchiques départ-destination et centre-périphérie s’éclipsent en faveur d’une construction en réseau où chaque élément endosse un statut de destination, de départ et de centre.
Intersection.
Ces quatre fonctions agissent comme des contraintes esthétiques qui stimulent et conditionnent l’écriture et sa génération (protocoles).
J’y vois une métaphore de l’humain où l’individu,
* maillon d’une généalogie, est point d’arrivée et point de départ ;
* évoluant à partir de la conscience de soi, se considère subjectivement comme un centre;
* membre d’un collectif, est un relais du réseau global (intersection).
Type de document : DJ's classes : récits variables
Auteur fictif : Capitaine L
Auteur réel : Carole Lipsyc
Provenance du texte : Noyau liminaire
Commentaires : aucun
Textes satellites : aucun