Le modèle du topos garantit la cohérence de toutes les combinatoires, c’est-à-dire du résultat de toute interaction ou interactivité. La complexité des scénarios arborescents — proche de celle du réalisme modal — est remplacée par le programme narratif et sémantique.
L’interactivité d’un topos n’est pas arborescente, elle est combinatoire. Elle ne crée pas de bifurcations ni de « mondes possibles ». Elle explore un seul monde et non pas ses « contreparties » (counterparts), mais elle explore ce seule monde à partir de tous les points de vue possibles (narrativité kaléidoscopique).
Type de document : DJ's classes : récits variables
Auteur fictif : Arte Miss
Auteur réel : Carole Lipsyc
Provenance du texte : CL
Référence : D. Lewis, 1973, Possible worlds
Commentaires : aucun
Textes satellites : aucun
Loula : tu veux qu'on joue à un nouveau jeu ?
P'tit Gars : non
Loula : oui
P'tit Gars : non non non
Loula : oui oui oui
P'tit Gars : non non non
Loula : oui oui oui
P'tit Gars : non non non
Ils mêlent leurs mains et tricotent leurs répliques en point de côtes - une maille à l'endroit, une maille à l'envers, un oui, un non, un oui, un non - et dans une disparence, ils traversent de l'autre côté.
Loula : j'ai gagné, j'ai gagné !!!!
Type de document : chants des petits griots
Auteur fictif : Anonyme
Auteur réel : Carole Lipsyc
Provenance du texte : Noyau liminaire
Commentaires : 1
Textes satellites : aucun