Esthétique du sommet

Non pas atteindre, non pas décrire ni isoler, mais porter toute son attention à la cime.

Plus qu'un condensé : l'essence.

Et de cime en cime, d'essence en essence, se construit le réseau, se construit le sens, se construit le récit.

Esthétique du sommet. Ou de la profondeur. Dans tous les cas, du relief.


Type de document : DJ's classes : récits variables

Auteur fictif : Capitaine L

Auteur réel : Carole Lipsyc

Provenance du texte : CL

Commentaires : aucun

Textes satellites : aucun

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interactivité combinatoire

Le modèle du topos garantit la cohérence de toutes les combinatoires, c’est-à-dire du résultat de toute interaction ou interactivité. La complexité des scénarios arborescents — proche de celle du réalisme modal — est remplacée par le programme narratif et sémantique.

L’interactivité d’un topos n’est pas arborescente, elle est combinatoire. Elle ne crée pas de bifurcations ni de « mondes possibles ». Elle explore un seul monde et non pas ses « contreparties » (counterparts), mais elle explore ce seule monde à partir de tous les points de vue possibles (narrativité kaléidoscopique).


Type de document : DJ's classes : récits variables

Auteur fictif : Arte Miss

Auteur réel : Carole Lipsyc

Provenance du texte : CL

Référence : D. Lewis, 1973, Possible worlds

Commentaires : aucun

Textes satellites : aucun

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