L’écrit n’est pas plus opaque que le parlé.
L’écriture ne traduit pas l’oralité. Elle ne lui succède pas. Elle ne la précède pas non plus. Elle est une autre façon d'interpréter le monde. Une autre sensation. Une autre perspective. Un autre agencement des signes. Une autre forme de pensée.
Je ne peux même pas l'associer à la lecture.
Le dire, l’entendre, l'écrit, le lu présentent pour moi, chacun, la même distance / opacité face au réel manifesté. Distance qui sépare le mot et la chose. Prisme de ma perception et de ma mentalisation.
Type de document : DJ's classes : récits variables
Auteur fictif : Capitaine L
Auteur réel : Carole Lipsyc
Provenance du texte : Noyau liminaire
Commentaires : aucun
Textes satellites : 1
Fêtes baroques ? Fêtes de cour somptueuses et insouciantes : théâtre du monde : l’art comme univers : la vie comme œuvre d’art totale : [ Calderòn, la vie est un songe ][ si la vie est un songe, la mort est un mensonge ] : "memento mori" : "souviens-toi que tu es mortel/le" : angoisse d’exister : "non plutôt oublie-le" : angoisse de crever : rave party [(le)rêve (est) parti ] : musique industrielle et techno pride : mais où est l’autre ? où est l’autre ? mais où est l’autre ? où est l’autre ? mais où est l’autre ? où ...
(quand le baroque brille et brûle)
Type de document : notes et travaux
Auteur fictif : Capitaine L
Auteur réel : Carole Lipsyc
Provenance du texte : Noyau liminaire
Référence : La Vida es sueno, Calderon
Commentaires : aucun
Textes satellites : aucun