Le modèle du topos garantit la cohérence de toutes les combinatoires, c’est-à-dire du résultat de toute interaction ou interactivité. La complexité des scénarios arborescents — proche de celle du réalisme modal — est remplacée par le programme narratif et sémantique.
L’interactivité d’un topos n’est pas arborescente, elle est combinatoire. Elle ne crée pas de bifurcations ni de « mondes possibles ». Elle explore un seul monde et non pas ses « contreparties » (counterparts), mais elle explore ce seule monde à partir de tous les points de vue possibles (narrativité kaléidoscopique).
Type de document : DJ's classes : récits variables
Auteur fictif : Arte Miss
Auteur réel : Carole Lipsyc
Provenance du texte : CL
Référence : D. Lewis, 1973, Possible worlds
Commentaires : aucun
Textes satellites : aucun
Quelques forfaits que l'on peut imputer au XIU et à l'APO :
- disparition de la photo d'Isidore Ducasse,
- disparition de Pablo Neruda,
- disparition du deuxième livre de la Poétique d'Aristote sur la Comédie et d'autres genres,
- …
Type de document : DJ's classes : le XIU
Auteur fictif : Anonyme
Auteur réel : Carole Lipsyc
Provenance du texte : Noyau liminaire
Commentaires : 1
Textes satellites : aucun