les Kimériens

Les Kimériens sont-ils uniquement le produit de l'imagination et du désir des Eréliens ?
Les Eréliens sont-ils les dieux de Kiméria ?

Cette idée a égaré plus d'un explorateur. L'Ordre des Joueurs a d'ailleurs traité Kiméria comme sa chose, son invention, sa propriété.

Mais le système est plus complexe.

Les Voyageurs façonnent une matière onirique : ils ne la créent pas. Ils sont comme les sculpteurs qui utilisent de la pierre ou de la glaise. Leurs personnages sont comme des automates, des parties du décor, des "chimères". Mais pas toujours. Il arrive qu'un personnage soit investi par une conscience et qu'il devienne pleinement vivant. Le procédé est décrit dans Pinocchio.

Rappelons également que certains domaines et continents de Kiméria sont si anciens que personne ne peut dire s’ils ont été inventés par des voyageurs ou s’ils ont précédé le Voyage.

Les Cimmériens défendent même la thèse selon laquelle le monde matériel, Erel, aurait été bâti par des Kimériens et que tous les humains seraient les descendants de ces êtres de l’imagination qui auraient migré sur Terre pour vivre une vie sensorielle totale. Nous serions tous le rêve de ceux que nous croyons rêver.


Type de document : DJ's classes : l'art du voyage

Auteur fictif : Capitaine L

Auteur réel : Carole Lipsyc

Provenance du texte : Noyau liminaire

Commentaires : aucun

Textes satellites : aucun

sortants

.

1er étage de la BPI

1er étage de la BPI - longer la paroi et la baie [direction ouest] jusqu’à la section Afrique, tourner d’un coup sec sur la droite [direction est] et traverser la rangée [direction sud] rejoindre l’allée principale et continuer à descendre vers le midi, passer le détecteur de métal, arriver au "kiosque", introduire une pièce dans la machine et plonger dans la fameuse 1ère gorgée de café !


Type de document : streetchroniques

Auteur fictif : Capitaine L

Auteur réel : Carole Lipsyc

Provenance du texte : Noyau liminaire

Commentaires : 1

Textes satellites : 1

.

Modes lecture
Glossaire
Historique
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.
.