Dans "Le ventre de Paris” de Zola, roman naturaliste qui prend pour décor et/ou personnage les Halles, deux couples accrochent ma mémoire : les bouchers gras qui trempent dans leur bonne conscience [les Quenu-Gradelle] et les orphelins ingénus qui poussent dans la rue avec insouciance [Marjolin et Cadine].
Claude, le peintre pauvre et maigre, le seul que j’aime vraiment dans cette histoire, parle de réaliser le portrait des deux adolescents mais [à vérifier] son art l’entraîne irrévocablement et systématiquement vers les natures mortes [légumes, viandes, fruits et autres compositions maraîchères].
Type de document : DJ's classes : études comparées
Auteur fictif : Capitaine L
Auteur réel : Carole Lipsyc
Provenance du texte : Noyau liminaire
Commentaires : aucun
Textes satellites : 3
Le Chœur appartient au récit et non pas aux 3 Espaces. C’est depuis le récit qu’ils ont accès aux personnages. Le Chœur est peut-être constitué des voix vivantes des Mémoires Absolues
Voix I & Voix II : deux femmes qui parlent entre elles des personnages principaux, de leurs états d’être, de leurs faits annexes. Il leur arrive de s’adresser directement aux personnages, en particulier à Loula et au Capitaine.
Ces deux Voix sont empruntées (remixées) à India Song où Marguerite Duras développe le principe des voix externes au récit.
Le Coryphée : il dirige le chœur et fait des monologues
Le Chœur : polyphonie de voix qui racontent les personnages
Le Petit Chœur : chœur d’enfant, ensemble de voix.