On n'a pas peur uniquement pour le Jardin Solidaire du 20e.
On a peur pour toutes les relations qu'on a créées : qu'est-ce qu'elles vont devenir ?
Où est-ce que ça va pouvoir s'agréger ?
On va être dispersé aux quatre coins maintenant…
On a rien pour remplacer le Jardin qui va être fermé.
A son ami des Montagnes
Type de document : correspondances
Auteur fictif : Fanfan
Auteur réel : anonyme
Provenance du texte : Printemps de la Démocratie
Commentaires : aucun
Textes satellites : aucun