au commencement

Au commencement étaient les mots.

Matière première, spatialité par laquelle, avec laquelle, s'agencèrent tous les récits, les thèmes, les systèmes.

Au commencement était le texte.

Il n'était ni chaos, ni magma. Il se donnait total et transitaire.

Comme des dunes, en son sein, les histoires et les pensées s'agençaient, se conjugaient, se mouvaient.


Type de document : DJ's classes : études cimmériennes

Auteur fictif : Capitaine L

Auteur réel : Carole Lipsyc

Provenance du texte : Noyau liminaire

Commentaires : 1

Textes satellites : aucun

sortants

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le récit se fragmente

Le récit variable se fragmente, se combine et s’anime en fonction du choix de son usager / lecteur.

Le sens y est restitué par le lien entre les textes, par leur juxtaposition et par le parcours unique du lecteur au sein du récit.

Simple d'usage, un récit variable conserve la narration et maintient les mécanismes essentiels d'identification. C'est un espace textuel voué à la transformation et à l'expansion.

Le récit variable peut être lu de quatre manières différentes : linéaire, multilinéaire, aléatoire et combinatoire (réseau).


Type de document : DJ's classes : récits variables

Auteur fictif : Capitaine L

Auteur réel : Carole Lipsyc

Provenance du texte : Noyau liminaire

Commentaires : aucun

Textes satellites : aucun

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