loin ô combien

Loin ô combien. Attentat aux lois sacrées de
l’écrit. Je flâne, parenthèse privilégiée entre
les signes. Scribe des incidences. Voleuse de
l’immédiat. Capitaine des ponts et chaussées.


Type de document : vers

Auteur fictif : Capitaine L

Auteur réel : Carole Lipsyc

Provenance du texte : Noyau liminaire

Commentaires : aucun

Textes satellites : aucun

recueils

Veuillez remarquer, je vous prie, que les différents types de recueils qui existent (de lettres, de fables, de prières, de sottises, etc.) bénéficient d’une dénomination spécifique (correspondance, fablier, bréviaire, ana, etc.) à l’exception du recueil de poèmes.

Pouvons-nous en déduire que le "recueil" désigne par défaut une collection de poèmes et qu'il s’applique aux autres genres uniquement par extension ? Le recueil concerne-t-il prioritairement la poésie ?

Je me permets - sans aucune raison philologique et par pure fidélité à mes intérêts personnels - d'y voir un lien avec la notion de "recueillement" : la poésie n’est-elle pas la forme du langage la plus proche de l’introspection sensorielle hors logos ?


Type de document : DJ's classes : récits variables

Auteur fictif : Capitaine L

Auteur réel : Carole Lipsyc

Provenance du texte : Noyau liminaire

Commentaires : aucun

Textes satellites : aucun

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